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Zoom sur notre Établissement
Son offre et projet d'enseignement, son infrastructure, ses bâtiments, plans de site et d'accès

Zoom sur notre Établissement
Son offre et projet d'enseignement, son infrastructure, ses bâtiments, plans de site et d'accès

Zoom sur notre école

L'École Secondaire Libre Saint-Hubert en un clin d'oeil

Une offre complète au service de vos enfants

Maternelle, primaire et secondaire

De 3 à 18 ans, tous les niveaux d’enseignement sont réunis sur un même site avant d’aborder les études supérieures.

Internat filles et garçons

Au coeur des Ardennes, dans un cadre propice aux études, dans une ambiance familiale, les internes sont placés dans des conditions idéales d’épanouissement moral, social et intellectuel

CÉFA : La formation en alternance

La formation en alternance permet au jeune d’apprendre un métier. Dans un CÉFA, le jeune suit des cours deux jours par semaine; les trois autres jours, il travaille en entreprise.

Ecole Secondaire Libre Saint-Hubert
Administration
Florian Liégeois
Premier Degré
Patrick François

Deuxième Degré
Frédéric Falmagne

Troisième Degré, Directrice Générale
Marianne Henon

Vue aérienne des bâtiments
Plan de site
Synthèse des 3 projets de notre établissement

Les trois grands cercles font référence aux trois médaillons de l’Oratoire de la rue Saint-Gilles qui rappellent les temps forts de la vie de Julie Billiart (fondation de la Congrégation des Sœurs de Notre-Dame, Action éducative, Expression de sa foi en la bonté de Dieu), tandis que l’ensemble avec l’élément central est une stylisation des trois violettes, emblème des valeurs maristes: Simplicité, Humilité, Modestie.

UN PLAN D’ACTION…

Projet éducatif

Le projet éducatif définit l’ensemble des valeurs, des choix de société et des références à partir desquels un Pouvoir Organisateur définit des objectifs éducatifs.

UN PLAN D’ACTION…

Projet pédagogique

Le projet pédagogique définit les visées pédagogiques et choix méthodologiques qui permettent à un Pouvoir Organisateur de mettre en œuvre son projet éducatif.

UN PLAN D’ACTION…

Projet d'établissement

Le projet d’établissement : ensemble des choix pédagogiques et des actions concrètes particulières que l’équipe éducative de l’établissement entend mettre en œuvre pour réaliser les projets éducatif et pédagogique du Pouvoir Organisateur.

À la découverte des bâtiments de l'école libre Saint-Hubert
Enseignements maternel – primaire – secondaire - CEFA

Introduction

À la découverte de Saint-Hubert
Albert Fraipont et Benoît Henin

L’école libre de Saint-Hubert est vaste !

A vol d’oiseau, 500 m séparent la rue St-Gilles du Hall des sports Albert Fraipont !

L’école est vaste car son histoire est longue et belle.

Les Sœurs de Notre-Dame arrivent en 1809 à la rue St-Gilles, les Frères Maristes, cent ans plus tard, à la rue Redouté. L’une et l’autre congrégation, au fil des ans et à la faveur d’une augmentation de leurs populations scolaires respectives, n’ont eu d’autres choix que de construire des bâtiments, toujours mieux adaptés aux nécessités et besoins du moment.

En septembre 2013, le processus de fusion entamé 30 ans plus tôt a fait naître l’Ecole Secondaire Libre St-Hubert, fille des instituts Notre-Dame et Saint-Joseph.

Pas moins de 14 bâtiments abritent les activités scolaires des élèves, des membres de l’équipe pédagogique et éducative ainsi que les personnels de maîtrise et de restauration.

C’est à la découverte de ce patrimoine bâti que cette plaquette convie les jeunes professeurs, pour qu’ils puissent plus facilement « s’y retrouver », comprendre au quart de tour ce que signifie « monter chez les frères » ou « descendre chez les sœurs » !

Les membres plus anciens de l’école découvriront certainement des aspects méconnus de l’histoire de ces édifices qui s’étendent à front de quatre rues et d’une impasse.

Puisse le lecteur, en prenant le chemin de la découverte de l’école « sur le terrain », en comprendre plus intimement la belle histoire et s’y sentir encore davantage comme chez lui.

A. Sur l’implantation « Notre-Dame », ancienne école des soeurs de Notre-Dame
Façades rue Saint-Gilles

En feuilletant l’album des souvenirs, chaque étape de l’évolution de l’Institut nous revient en mémoire.

Notre-DameEn juillet 1809, dans l’actuel Oratoire (inauguré en 1946), Julie Billiart, une religieuse française de Picardie accueillie par Monseigneur Pisani de la Gaude, évêque de Namur, rencontre les autorités locales dont le bourgmestre, Léopold Zoude, pour sceller la création d’un établissement scolaire destiné aux filles.

La congrégation des sœurs de Notre-Dame a été officiellement créée le

15 octobre 1805. En pleine époque napoléonienne, l’institut Notre-Dame naît donc dans notre ville alors sous-préfecture de Sambre et Meuse.

Notre-DameLa guerre de 1940-1945 et le pouvoir érosif du temps avec ses contraintes de rénovation, l’élan constructeur impulsé par une population scolaire en plein essor ont conféré leur facture actuelle aux bâtiments. Depuis plus de deux siècles, les sœurs de Notre-Dame témoignent par leur présence et leur action des valeurs pédagogiques de sainte Julie (canonisation en 1969) : il nous incombe de les perpétuer par fidélité au message fondateur.

La commune de Saint-Hubert a salué l’action éducative des sœurs de

Notre-Dame par la création de la “Placette Julie Billiart” dans le prolongement de l’église Saint-Gilles au Pré, église paroissiale au temps de l’église abbatiale bénédictine devenue Basilique en 1927.

L’évolution de ce site doit beaucoup à Sœur Xavier (Hélène Corbiau).

À l’arrière du Notre-Dame, dans les jardins

Le Hall des SciencesL’édifice consacré aux sciences est venu s’intégrer de façon harmonieuse sur le site Notre-Dame.

Une grande salle polyvalente occupe le niveau 0 :

le « 175 » coulé dans le béton du mur du fond nous rappelle la date d’inauguration de 1984 pour le 175e anniversaire de la création de l’institut.

Au quotidien, cette salle polyvalente, sert de salle d’étude et de réfectoire.

Au 1er étage : un local de chimie et un autre de biologie. Entre les deux, des locaux de préparation. Un modèle du genre… car chaque professeur a dessiné les plans de l’infrastructure idéale pour sa discipline.

Le Hall des SciencesAu second, une salle de physique et une autre d’informatique.

Une remarque générale

« Je monte chez les frères » disait un professeur lorsqu’il changeait d’implantation. Tous les bâtiments de l’école ont dû tenir compte de la pente très sensible qui a influencé leur construction. Le hall des sciences vous le fait oublier, lui qui a ses entrées au niveau 0 par la petite cour qui longe Notre-Dame et au 1er par la grande cour de récréation.

Bâtiment dont une façade est à front de l’impasse Verly

Bâtiment à l’usage de l’école maternelle

Le VerlyThéodore Verly quitte Luxembourg où il est perruquier pour Saint-Hubert. Il y épouse Ursule Chardome en 1772. Elle lui donnera trois enfants. Théodore décède en 1780, sa femme en 1810. Nous devons ces renseignements à M. Emile Pècheur, ancien instituteur et directeur de l’école primaire des garçons. Il écrit ceci : « Alors d’où vient le nom de cette impasse? Je laisse travailler mon imagination.

Exemple : la rue des Prés, pour les vieux Borquins, c’est « lu rouwale Skelin » du nom d’un contremaître de l’usine Martin qui y a construit la première maison. Les ruelles qui n’avaient pas de nom, on les baptisait du nom du premier habitant ou d’un proche. « Lu rouwale Hamtiaut », « lu rouwale des noû cortis », « lu roue Bernagasse », « lu rouwale Chaumont », « lu rouwale Sansous »,

« lu rouwale du l’Hospice », « lu ptite Voye »

Alors imaginons que la première maison construite dans cette impasse le fut par Verly. Pourquoi pas ? ».

Le Verly :

Le Verlyun petit bâtiment en pierres et une annexe en briques.

Dans le premier, au rez-de-chaussée, un réfectoire ; une classe et un bureau à l’étage. Une classe dans la seconde qui ne compte qu’un niveau.

Ni portes ni fenêtres côté impasse. Ce bâtiment a fait partie des infrastructures occupées par l’école ménagère et agricole créée en 1932. Dans cet espace, on y formait des régentes, on apprenait à tanner les peaux…

Cette section sera transférée à Bastogne en 1951. Quant à l’annexe en briques dite “Le Pavillon”, elle accueille les Poussins de notre enseignement maternel. Un brin d’humour : on perpétue ainsi, dans sa partie moderne, la vocation initiale du bâtiment ancien qui faisait office de poulailler pour l’école ménagère…

En contrebas de l’impasse Verly

Le marronnierBâtiment à l’usage de l’école maternelle

Le nom Verly était pris, le bâtiment avait un bel arbre pour voisin…

Il s’appellera donc le Marronnier.

Le Marronnier, c’est 6 classes réparties sur deux niveaux.

Un préau côté impasse, une plaine de jeux sur l’arrière.

En briques rouges, bâtiment perpendiculaire à la rue Général Dechesne

Rez-de-chaussée et sous-sol : école maternelle
Etage : le « studio-théâtre »

Ce bâtiment porte le nom « LE DECHESNE », pour faire honneur à cet enfant illustre de Saint-Hubert, le général Gaston Dechesne dont le père, le docteur Armand Dechesne, a habité le numéro 7 de la rue Neuve, aujourd’hui le 8 rue Général Dechesne, face à notre salle dévolue au théâtre.

Le DechesneLe général Dechesne s’est illustré durant la première guerre mondiale par son sens stratégique et son art du commandement, au point de mériter l’admiration de nos alliés franco-anglais et une citation du général Pétain.

Le texte d’hommage est gravé sur sa tombe au cimetière communal de la ville de Saint-Hubert (tombe 1550) : « Pour les belles qualités militaires dont il a fait preuve depuis le début de la campagne, successivement dans le commandement d’un groupe, d’un régiment et d’une brigade d’Artillerie, commande actuellement une Division d’infanterie avec distinction et compétence. »

Né à Saint-Josse-ten-Noode le 4 août 1863, il a épousé le 27 octobre 1887 à Ypres Valentine Debaucourt (1865-1944). Le couple vivait à Bruxelles et aura deux filles : Inès et Berthe. Le général est décédé le 29 mars 1919 à Neuss (Allemagne) à 23 heures des suites d’une attaque d’apoplexie avec accumulation suppurative, probable conséquence des attaques de gaz toxiques subies dans les tranchées de l’Yser.

B. Sur l’implantation « Saint-Joseph », ancienne école des frères maristes
Rue Redouté

Cet ancien cinéma paroissial, transformé par l’école en salle de sport avec mur d’escalade, donne sur la rue Redouté (niveau 1) et l’impasse Verly (niveau 0).

Le VoxIl a longtemps servi de salle de spectacle pour les élèves de l’enseignement libre. Emile Pècheur, ancien directeur du fondamental, y a œuvré comme projectionniste et avait le privilège… de couper les scènes trop osées qu’il détectait… appliquant fidèlement la réplique de Tartuffe « Cachez ce sein que je ne saurais voir » (Molière : Acte II, scène 3).

Dans cette impasse Verly, comme à l’avenue Nestor Martin, le célèbre industriel avait bâti des logements ouvriers, car Saint-Hubert a connu une période économique florissante : usines Nestor Martin, cycles Bury à la rue de Poix et la construction d’avions (Le Saint-Hubert et le Renard!) sur le site de l’aérodrome actuel créé par l’ingénieur J. Orta. Au 1er, nous trouvons une salle omnisports, dotée d’un mur d’escalade aménagé en 1991 par les professeurs d’éducation physique. Au 0, un atelier a pris la place des locaux de l’ancien centre de santé de nos écoles, service désormais assuré par la province du Luxembourg.

Il accueille, depuis la rentrée 2013-2014, les élèves du CEFA qui vont y aménager un espace garage avec accès donnant sur l’impasse Verly.

Aujourd’hui « LA MARGELLE »

La MargelleAu 43 de la rue Redouté, en face du Vox, ce bâtiment est le lieu de départ historique de l’institut Saint-Joseph, à l’arrivée des frères maristes en 1909. Depuis 2012, ce bâtiment est propriété de la paroisse de Saint-Hubert qui y a aménagé des salles de réunion. A la droite de ce bâtiment, le « tunnel » qui permet d’accéder à la cour de l’école primaire.

Accès par le « tunnel » en face du Vox, rue Redouté ou par la rampe d’accès descendant de la rue des Neuf Courtils

Pierre-Joseph Redouté, le célèbre aquarelliste des roses né à Saint-Hubert, a fait carrière à Paris : l’ancienne rue du Cul du Four porte désormais son nom ainsi qu’un musée pour nous rappeler l’œuvre de cet artiste de génie.

Jacques Guillaume, ancien professeur et président du P.O, aujourd’hui décédé, a consacré son énergie à le promouvoir.

Le RedoutéLes frères ont construit ce grand bâtiment pour le primaire. Il a fortement subi les effets de la deuxième guerre, a été réparé et s’est agrandi en fonction des besoins. Notamment en 1954 avec un dortoir.

Il s’est modernisé en 1956 avec le chauffage central. Les bâtiments ont une vie eux aussi.

Aujourd’hui : des classes du primaire sur trois niveaux. Au rez, un restaurant qui, anciennement, fut un atelier de menuiserie. Pour les séances dominicales de cinéma (avant la construction du Vox) qui avaient lieu après les vêpres et le salut, on recouvrait les établis et le matériel de toiles pour la projection de films.

Au dernier étage, le centre « Maggy Debouche », généreuse donatrice de l’option Agent d’Education, a été transféré depuis, au premier étage du Notre-Dame. Pendant de nombreuses années, vers le 20 décembre, un repas de toute la communauté scolaire rassemblait les enseignants des sections techniques et générales au restaurant : il s’appelait le souper de « La Sainte-Barbe », une terminologie que l’avènement des compétences a sans doute jugée obsolète…

Le RedoutéLe restaurant self-service du rez-de-chaussée est une réalisation de notre équipe de maintenance.

Ce bâtiment principal des primaires fera l’objet d’un agrandissement pour un dortoir (1954) ; durant le chantier, les élèves campaient dans la salle de gymnastique de l’école technique devenue salle de dessin, puis local d’ébénisterie. Le cocooning sera inventé plus tard ! Le pensionnat passe ainsi de 60 à 92 internes pour une population scolaire totale de 264 élèves…

Du tarmac est posé sur l’actuelle cour du primaire, auparavant en terre battue, le chauffage central est installé dans le bâtiment du même enseignement (1956). Dans une classe du rez a officié Frère Adolphe. Il est le fondateur du groupe de trompes de chasse « Le Royal Freyr » qui porte le prestige de Saint-Hubert au plan international.

À front de la rue des Neuf Courtils

Le Neuf CoutilLe courtil, étymologiquement, désigne un pré ou un jardin situé près des habitations ; « neuf » ne fait pas référence au numéral mais correspond à l’adjectif « nouveau » : lors des transcriptions administratives ou notariales, le « s » s’est perdu… Comme l’école enseigne l’orthographe, nous avons privilégié l’appellation « Le Neuf Courtil » !

Le Neuf CoutilA cet endroit se trouvait, initialement, l’atelier de la section FER créée en 1926.

Il est le dernier-né de l’ensemble immobilier de l’école fondamentale libre Saint-Hubert. Des classes, une salle de gymnastique, un préau. Le tout donnant sur la grande cour de récréation. Le Redouté est son grand voisin.

À la rue des Neuf Courtils

Le ChaletCe bâtiment de 500 m2, sans étage, de la rue des Neuf Courtils, a été construit en 1979-1980 avec une armature en bois, à l’origine de son nom. Au départ, il était composé de quatre classes et d’une grande salle d’étude. Il a été adapté pour les besoins du technique qui l’occupe aujourd’hui. Les études se font désormais au 2e étage de notre hall sportif.

À la rue des Neuf Courtils

Entre 1951 et 1953, la construction de l’école technique (bâtiment de la rue des Neuf Courtils avec entrée surmontée du cerf crucifère) se déroule sur un espace de 1300 m².

L'école techniqueElle a été orchestrée par le doyen Dessoy, financée par l’ASBL paroissiale, pouvoir organisateur, qui met sur pied des fancy-fairs de trois jours dans les villages voisins avec le concours de bénévoles.

Un ouvrage « 1926-2001 L’ECOLE TECHNIQUE A 75 ANS » retrace le vécu d’un fleuron de notre enseignement : section Fer (1926), section Bois (1927), section A2 Electricité (1963) ; puis vint le rénové avec la multiplication des options.

L’ouvrage « 97 ans de fidélité – Saint-Hubert et les Frères Maristes » relate une belle aventure confiée à la génération actuelle.

On y relèvera plus particulièrement le tempérament bâtisseur de Frère Franciscus (Raoul Goffinet) et de Frère Joseph-Willy (Willy Demeyer) au niveau infrastructurel et des sections A2 de l’enseignement professionnel…

Façade à la rue des Rogations

Le ChampagnatMarcellin Champagnat est le fondateur de la « Société des Petits Frères de Marie », appelés le plus souvent frères maristes. Au départ, leur vocation était de promouvoir l’enseignement primaire dans les campagnes. Chez nous, ils se sont occupés, avec succès, du primaire et du secondaire. Les frères ont pris le relais de la paroisse en 1909 jusqu’en 2006 avec le départ des deux derniers membres de la communauté.

La construction du bâtiment remonte à 1961 avec une part importante de travaux (menuiserie, électricité…) assumée par les sections techniques et les enseiLe Champagnatgnants du général pour les laboratoires ; il sera occupable en 1963. Cette date concorde avec l’ouverture du cycle supérieur des humanités modernes avec une seule section Scientifique B dont la première promotion est diplômée en juin 1966 : création de Frère Henri (Nicolas Robert).

Le bâtiment, côté rue des Rogations, est orné d’une sculpture de la Vierge ; elle nous rappelle la devise des frères « Tout à Marie pour Jésus, tout à Jésus pour Marie » et la dévolution mariale promue par Marcellin Champagnat (1789-1840) canonisé en 1999 par Jean-Paul II.

Au fond de la grande cour du Champagnat et de l’école technique

Une aire sportive de 1456 m².

Un excellent revêtement.

Un éclairage de qualité et la possibilité de pratiquer de nombreux sports.

Hall Albert Fraipont4 vestiaires, 2 salles de douches, des locaux pour les arbitres, 1 cafétéria… 4 classes,

1 salle d’étude.

Une acoustique remarquable.

Notre communauté éducative souhaitait la construction d’un hall sportif. Les professeurs d’éducation physique l’évoquaient volontiers, notamment lors des réunions pédagogiques. Il est là, et bien là, fruit d’un travail très important, étalé sur plusieurs années. Avec en point d’orgue, l’inauguration du 27 avril 2007 avec le nom de son promoteur Albert Fraipont, ancien professeur, directeur de l’institut et ensuite président du P.O.

Rue des Neuf Courtils

Internat Saint-JosephCe bâtiment, haut de 3 étages, accueille des internes garçons depuis 1975.

Chambres individuelles, salle de jeux et ascenseur au 0, et au 1er , une salle d’étude.

Une radio « Fréquence libre 106.7 FM », en stand-by actuellement, naguère fort écoutée.

L’internat est mixte depuis quelques années.

L’ancienne salle d’étude est occupée par « Le Baby service » (co-accueillantes conventionnées).

Chaque année, durant les grandes vacances, des stages linguistiques sont organisés dans cette infrastructure.

C. À la rue Herman
15. LA SOUDURE

La SoudureA la rue Herman, au n°25b, l’institut a fait l’acquisition du bâtiment des anciens « Ateliers Ducamp » et l’a équipé pour une pédagogie adaptée à notre temps. Le patronyme Ducamp rappelle l’action du député permanent Louis Ducamp en faveur de l’enseignement technique et des équipements dans les ateliers. Son beau-fils, Charles Pècheur, perpétuera cette dynamique familiale : les frères maristes lui décerneront, comme à son cousin Emile Pècheur, le titre de frère mariste car ils ont été tous deux des piliers de l’enseignement libre.

Sur le pas de la porte…

Les congrégations des sœurs de Notre-Dame (depuis 1809) et des frères maristes (1909) se sont investies sans réserve au service des jeunes et elles continuent, en nous passant le relais, à nous manifester leur appui.

Elles sont toujours présentes au conseil d’administration du P.O. :

Soeur Paul-Thérèse Vandenbyvang, Soeur Monique Petit depuis peu, Frère Maurice Taildeman et Frère Robert Thunus. Soeur Jeanne et Soeur

Marie-Clotilde perpétuent une tradition de service tandis que Frère Willy et Frère Pierre ont été les deux derniers membres de la communauté mariste.

Nos différentes publications relatent l’apport de ces deux acteurs : en prendre connaissance ne peut que nous aider à consolider un sentiment d’appartenance, de fierté par rapport à l’oeuvre éducative développée en terre de Saint-Hubert.

Pour en savoir plus…

Les auteurs :

Albert Fraipont : ancien professeur puis directeur, et président du pouvoir organisateur de l’école (à l’école de 1967 à 2013).

Benoît Henin : ancien professeur puis directeur du 1er degré autonome et membre du pouvoir organisateur (à l’école de 1978 à 2013).

 

Les auteurs se sont, pour une bonne part, référés aux publications suivantes :

« La Revue du Bicentenaire »

« 1809-2009 — Faire mémoire pour l’avenir. Bicentenaire de l’Institut

Notre-Dame »

« 1926-2001 — L’école technique a 75 ans »

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